addiction alcool Caen. Premièrement
Ici, je vais vous parler d’une addiction qui touche plusieurs personnes et donc par conséquent plusieurs familles : l’addiction à l’alcool. Pour information, 10 % des français sont des consommateurs quotidiens d’alcool. Que signifie consommateurs d’alcool ? A quel moment peut-on parler d’alcoolisme ?
Nous pourrons d’ailleurs trouver différentes définitions, selon les sources, pour déterminer si oui ou non la personne est alcoolique. L’alcoolisme est une addiction. Je dirais donc un besoin de consommer régulièrement de l’alcool et un non contrôle de sa consommation indiquera une dépendance ou une addiction à l’alcool.
Comment l’addiction s’installe ?
Dans la plupart des cas, au début, la consommation sera une quantité plutôt « minime », aussi analysée comme « normale ». La personne consommera un ou deux verres de manière assez régulière. Au départ ces quelques verres lui seront suffisants pour atteindre l’état recherché. A savoir, par exemple une détente, un apaisement, un sentiment de bien-être, l’oubli d’un évènement difficile, la désinhibition ou tout autre chose qu’elle chercherait à ressentir ou atteindre. Puis cette quantité ne sera plus suffisante pour lui procurer l’état attendu. Par conséquent, sa consommation augmentera alors, dans le but d’atteindre à nouveau ce ressenti ou cet état. Jusqu’à ne plus pouvoir s’en passer et/ou consommer de manière répétitive et/ou abusive. La personne se prend alors dans ce tourbillon.
Tout cela pour vous expliquer que cette consommation n’est pas présente par hasard. Et que l’individu qui devient dépendant, est en quête « d’une intention positive » qu’il n’arrive plus à atteindre par une consommation standard. En augmentant sa consommation, il essaie donc de la satisfaire.
Cette dépendance entraine parfois une dégradation des liens sociaux et familiaux, et/ou d’autres problématiques d’ordre financières ou encore d’ordre professionnelles…
Aussi la personne peut ressentir une certaine honte ou d’autres ressentiments par rapport à cette addiction. En effet, l’individu a une certaine conscience de sa consommation abusive mais peut être amener à un certain déni, par rapport à son entourage ou même par rapport à lui-même (il se ment à lui-même).
Pour s’en libérer :
Une prise de conscience d’une consommation excessive ou anormale est un des premiers éléments pour se libérer de cette dépendance.
Aussi, je n’emploierai pas le terme « alcoolique ». En effet, il est bien trop réducteur ! Nous avons en face de nous une personne : un être humain, qui ne se réduit pas qu’à boire de l’alcool mais fait aussi de nombreuses autres choses et a bien d’autres caractéristiques ! Il est parfois vrai que ces personnes ont perdu leur travail ou même parfois leur famille à cause de ce fléau. Mais pour autant, la personne impactée par ce comportement est autre chose qu’un « buveur d’alcool » !
Je mets un point d’honneur sur ce sujet car qualifier une personne « d’alcoolique », c’est aussi lui enlever des chances de sortir de ce trouble ! Je m’explique : c’est un comportement et non une identité ! La personne n’est pas née « alcoolique », elle l’est devenue. Chasser un comportement est bien plus « facile » que chasser une identité ! En d’autres termes, la personne émet ce comportement dans un but. Je ne connais aucune personne devenue addicte à cette substance juste pour le plaisir de devenir addicte, vous oui ? Je ne pense pas.
De plus, ce n’est pas tant l’addiction au produit mais plutôt en réalité une addiction à un état que la personne a réussi quelques fois à trouver en consommant ce produit. Son inconscient a alors « enregistré » qu’en faisant de telle manière, elle pouvait atteindre sa détente ou tout autre état recherché. Cependant, à un moment cela fonctionne moins bien. Une sorte d’habituation ou un autre élément faisant que l’état recherché n’est plus atteint pleinement. Donc inconsciemment et consciemment la personne augmente sa consommation. D’où la répétition parfois excessive de cette consommation qui est dans le but de ressentir l’état recherché.
Pour conclure :
En d’autres termes il est important de comprendre que derrière cette consommation se cache une intention « positive » (celle d’un état recherché). Mais qu’elle n’est plus satisfaite par ce biais. Les séances seront alors orientées dans le but d’atteindre l’état recherché sans devoir consommer d’alcool.
Aussi, il s’agira aussi de déterminer et mettre à jour les causes de cette consommation qui peuvent être dues à un élément comme plusieurs mais que le sujet n’a pas forcément pointé : un traumatisme, un passé douloureux, une personne de l’entourage aux comportements toxiques, l’anxiété, la confiance en soi, l’affirmation de soi, la timidité ou encore autre chose… Ce deuxième point permettra de vous proposer des exercices d’hypnose et PNL sur les éléments évoqués afin de dissoudre la cause pouvant engendrer cette addiction. Nous pourrons par exemple apprendre à se comporter de manière appropriée avec la personne aux comportements toxiques (affirmation de soi…), ou encore tourner la page sur un traumatisme, ou d’autres choses qui seront en lien avec la résolution de votre problématique.
En parallèle, d’autres techniques d’hypnose et PNL seront aussi proposées en lien direct avec la consommation excessive d’alcool.
Tant de sujet qui pourront être abordé et traité en fonction de la problématique et du rythme de la personne lui permettant d’atteindre ses objectifs afin de retrouver une liberté ou un mieux-être ou tout autre chose qu’elle serait venue chercher en consultation.
II addiction alcool Caen. addiction alcool Caen. Pour conclure