Agoraphobie

ARTICLE EN COURS DE CREATION

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Une des nombreuses définitions que l’on peut lire par exemple dans le Larousse serait que l’agoraphobie est « une phobie des espaces découverts (places) et des lieux publics », ou encore la peur des lieux d’où il serait difficile ou gênant de s’échapper ou d’être secouru. Cette phobie est fondée sur la peur de ne pouvoir trouver aide et sécurité dans l’endroit s’il arrivait quelque chose et non sur le lieu en tant que tel (source : www.anxiété.fr)

Plus explicitement, l’agoraphobie se caractérise par une peur intense, une forte anxiété dans certains lieux, souvent à l’extérieur de la maison où l’individu a l’impression qu’il pourrait être difficile ou compliqué de partir ou obtenir de l’aide. S’y joint différents symptômes physiques (qui peuvent varier d’un individu à un autre mais qui restent souvent similaires). Parmi ces symptômes, nous pouvons retrouver par exemple des étourdissements, essoufflements, difficultés à respirer, transpirations, sensations aux niveaux des jambes… ainsi que d’autres (qui vous viennent certainement à l’esprit si vous souffrez de ce trouble et que vous lisez cet article). Ces sensations et symptômes sont aussi dans la majorité des cas accompagnés de pensées dramatiques (par exemple l’impression de mourir, de faire un malaise, de perdre la maitrise ou encore l’impression de devenir fou etc).

L’individu, dans ces diverses situations, pris de panique, met alors en place inconsciemment et consciemment un réflexe humain : fuir ! Ce que l’on appelle plus communément la réaction du faire face ou fuir. Il s’agit d’éviter certaines situations ou certains lieux provoquant cette peur intense avec ses symptômes divers et variés. Une autre des stratégies déployées peut être de se faire accompagner par une tierce personne de l’entourage afin de se rassurer : la stratégie de la réassurance extérieur. Paradoxalement, ce qui parait ici donc être une solution adéquate n’est en faite autre que ce qui va accentuer l’anxiété.

C’est ainsi que le trouble de l’agoraphobie se met en place.

Il est important de savoir que l’agoraphobie est un trouble anxieux et non maladie ! En effet, cette « stratégie » d’évitement a été mis en place à un moment donné : on ne nait pas agoraphobe, on le devient. C’est un comportement et non une identité ! Cette notion est importante car c’est l’un des premiers pas à comprendre et intégrer pour sortir de ce trouble et retrouver sérénité et liberté. Nous reviendrons bien-sur sur ce point en séance.

Il est de plus nécessaire de comprendre et d’intégrer que l’on peut se libérer de ce trouble et de ces symptômes !

Lors de nos entretiens, nous viendrons aussi à évoquer le fonctionnement de l’apparition des sensations désagréables et paniquantes. Cette étape est intéressante pour faire baisser l’appréhension de ces symptômes physiques corporelles et psychiques ainsi que pour gérer l’anxiété liée.  

Aussi nous pourrions être amené si besoin, à chercher ensemble les causes et explications ayant pour résultat l’agoraphobie, qui par la suite, nous amènera alors à utiliser des techniques et protocoles d’hypnose adaptés au résultat souhaité.

Bien-sûr, en parallèle nous ferons des « exercices » grâce à des outils thérapeutiques plus concrets pour régler l’anxiété et symptômes. Ces exercices s’accorderont à vous et à votre vouloir.

Il y a différente possibilité via les thérapies brèves et le coaching en utilisant l’hypnose, la PNL, la désensibilisation oculaire, la communication ou d’autres techniques pour retrouver la liberté, la sérénité ou tout autre objectif ; Pour cela je serais ravie de vous accompagner dans votre démarche !

Aurélie Fournier Hypnose ericksonienne PNL Thérapie brève Coaching Caen Mondeville Herouville – 06.95.84.96.85

Addiction à l’alcool

addiction alcool Caen. Premièrement

Ici, je vais vous parler d’une addiction qui touche plusieurs personnes et donc par conséquent plusieurs familles : l’addiction à l’alcool. Pour information, 10 % des français sont des consommateurs quotidiens d’alcool. Que signifie consommateurs d’alcool ? A quel moment peut-on parler d’alcoolisme ?

addiction alcool Hypnose Caen Aurélie Fournier

Nous pourrons d’ailleurs trouver différentes définitions, selon les sources, pour déterminer si oui ou non la personne est alcoolique. L’alcoolisme est une addiction. Je dirais donc un besoin de consommer régulièrement de l’alcool et un non contrôle de sa consommation indiquera une dépendance ou une addiction à l’alcool.

Comment l’addiction s’installe ?

Dans la plupart des cas, au début, la consommation sera une quantité plutôt « minime », aussi analysée comme « normale ». La personne consommera un ou deux verres de manière assez régulière. Au départ ces quelques verres lui seront suffisants pour atteindre l’état recherché. A savoir, par exemple une détente, un apaisement, un sentiment de bien-être, l’oubli d’un évènement difficile, la désinhibition ou tout autre chose qu’elle chercherait à ressentir ou atteindre. Puis cette quantité ne sera plus suffisante pour lui procurer l’état attendu. Par conséquent, sa consommation augmentera alors, dans le but d’atteindre à nouveau ce ressenti ou cet état. Jusqu’à ne plus pouvoir s’en passer et/ou consommer de manière répétitive et/ou abusive. La personne se prend alors dans ce tourbillon.

Tout cela pour vous expliquer que cette consommation n’est pas présente par hasard. Et que l’individu qui devient dépendant, est en quête « d’une intention positive » qu’il n’arrive plus à atteindre par une consommation standard. En augmentant sa consommation, il essaie donc de la satisfaire.

Cette dépendance entraine parfois une dégradation des liens sociaux et familiaux, et/ou d’autres problématiques d’ordre financières ou encore d’ordre professionnelles…

Aussi la personne peut ressentir une certaine honte ou d’autres ressentiments par rapport à cette addiction. En effet, l’individu a une certaine conscience de sa consommation abusive mais peut être amener à un certain déni, par rapport à son entourage ou même par rapport à lui-même (il se ment à lui-même).

Pour s’en libérer :

Une prise de conscience d’une consommation excessive ou anormale est un des premiers éléments pour se libérer de cette dépendance.

Aussi, je n’emploierai pas le terme « alcoolique ». En effet, il est bien trop réducteur ! Nous avons en face de nous une personne : un être humain, qui ne se réduit pas qu’à boire de l’alcool mais fait aussi de nombreuses autres choses et a bien d’autres caractéristiques ! Il est parfois vrai que ces personnes ont perdu leur travail ou même parfois leur famille à cause de ce fléau. Mais pour autant, la personne impactée par ce comportement est autre chose qu’un « buveur d’alcool » !

Je mets un point d’honneur sur ce sujet car qualifier une personne « d’alcoolique », c’est aussi lui enlever des chances de sortir de ce trouble ! Je m’explique : c’est un comportement et non une identité ! La personne n’est pas née « alcoolique », elle l’est devenue. Chasser un comportement est bien plus « facile » que chasser une identité ! En d’autres termes, la personne émet ce comportement dans un but. Je ne connais aucune personne devenue addicte à cette substance juste pour le plaisir de devenir addicte, vous oui ? Je ne pense pas.

De plus, ce n’est pas tant l’addiction au produit mais plutôt en réalité une addiction à un état que la personne a réussi quelques fois à trouver en consommant ce produit. Son inconscient a alors « enregistré » qu’en faisant de telle manière, elle pouvait atteindre sa détente ou tout autre état recherché. Cependant, à un moment cela fonctionne moins bien. Une sorte d’habituation ou un autre élément faisant que l’état recherché n’est plus atteint pleinement. Donc inconsciemment et consciemment la personne augmente sa consommation. D’où la répétition parfois excessive de cette consommation qui est dans le but de ressentir l’état recherché.

Pour conclure :

En d’autres termes il est important de comprendre que derrière cette consommation se cache une intention « positive » (celle d’un état recherché). Mais qu’elle n’est plus satisfaite par ce biais. Les séances seront alors orientées dans le but d’atteindre l’état recherché sans devoir consommer d’alcool.

Aussi, il s’agira aussi de déterminer et mettre à jour les causes de cette consommation qui peuvent être dues à un élément comme plusieurs mais que le sujet n’a pas forcément pointé : un traumatisme, un passé douloureux, une personne de l’entourage aux comportements toxiques, l’anxiété, la confiance en soi, l’affirmation de soi, la timidité ou encore autre chose… Ce deuxième point permettra de vous proposer des exercices d’hypnose et PNL sur les éléments évoqués afin de dissoudre la cause pouvant engendrer cette addiction. Nous pourrons par exemple apprendre à se comporter de manière appropriée avec la personne aux comportements toxiques (affirmation de soi…), ou encore tourner la page sur un traumatisme, ou d’autres choses qui seront en lien avec la résolution de votre problématique.

En parallèle, d’autres techniques d’hypnose et PNL seront aussi proposées en lien direct avec la consommation excessive d’alcool.

Tant de sujet qui pourront être abordé et traité en fonction de la problématique et du rythme de la personne lui permettant d’atteindre ses objectifs afin de retrouver une liberté ou un mieux-être ou tout autre chose qu’elle serait venue chercher en consultation.

II addiction alcool Caen. addiction alcool Caen. Pour conclure

Crises d’angoisse, attaques de panique…

angoisse caen

La crise d’angoisse aussi appelée attaque de panique ou encore crise de panique… touche 2 à 5 % de la population.

Angoisse, panique

Lors de ces crises, plusieurs de ces manifestations psychologiques et physiques peuvent survenir :

– étourdissement

– symptômes corporelles (transpiration, bouffée de chaleur…)

– extrémités du corps froid (mains et pieds)

– engourdissement, picotement…

– hyperventilation (souffle court, sensation d’essoufflement, sensation d’étouffement…)

– palpitations

– douleurs dans la poitrine

– tremblements, secousses

– sentiment d’irréalité

– sentiment de perdre le contrôle, de perte de maitrise de soi

– impression de devenir fou ou impression de mourir

Explications :

Ces crises surviennent la plupart du temps, soudainement et dans un cadre plutôt familier ou une situation ne présentant pas de danger réel. Ce qui accentue par conséquent la terreur de l’individu n’arrivant pas à relier cette panique à un événement précis pouvant la créer. Les manifestations corporelles entraînent alors une hyperactivité au niveau des pensées, qui elles-mêmes nourrissent les symptômes corporels qui continuent à s’accentuer, et ainsi de suite.

Pour exemple, lorsque l’on se ballade, il peut nous être arrivé de se trouver confronté à un portail ouvert. Nous voyons alors un gros chien dans la cour susceptible de pouvoir alors nous agresser. Dans ce cas, les sensations ressenties sont alors les mêmes qu’évoquées plus haut, mais ici elles seront normalisées par la présence du chien et le réel danger ; et donc vont s’éteindre aussitôt le danger passé.  

Dans le cadre de crise d’angoisse, l’individu ne pouvant trouver une cause précise à son état, ne comprendra alors pas ses réactions et ressentis, ce qui pourra aussi engendrer la peur que cet état se réitère de nouveau : « la peur d’avoir peur ». Aussi, ces crises génèrent souvent le phénomène « faire face ou fuir » (= l’évitement ; J’en parlerai dans un autre article « Agoraphobie » 😉).

Ces crises se manifestent de façon très variable selon les personnes.

Sortir du trouble :

Pour sortir de ce trouble, il s’agira alors dans un premier temps d’expliquer et comprendre les sensations corporelles ressenties et associées à la crise d’angoisse permettant déjà par ce biais une baisse de symptômes corporels et mentaux pouvant survenir dans ce cas : c’est un phénomène humain d’alerte face au danger. Cependant dans ce cas, c’est un signal d’alarme déclenché par le corps sans raison valable.

Il s’agira aussi de déterminer et mettre à jour les causes de ces crises d’angoisse qui peuvent être dues à un élément comme plusieurs mais que le sujet n’a pas forcément pointé : un traumatisme, une personne de l’entourage aux comportements toxiques, refoulement des émotions, des non-dits « on prend sur soi » ou encore autre chose… Ce deuxième point permettra de vous proposer des exercices d’hypnose et PNL sur les éléments évoqués afin de dissoudre la cause pouvant engendrer ces crises. Nous pourrons par exemple apprendre à se comporter de manière appropriée avec la personne aux comportements toxiques (affirmation de soi…), tourner la page sur un traumatisme… Ou aussi échanger sur d’autres choses qui seraient en lien avec la résolution de votre problématique.

Aussi et en parallèle, d’autres techniques d’hypnose et PNL seront aussi proposées en lien direct avec l’anxiété et les crises d’angoisse afin de les « irradier ».

Tant de sujets qui pourront être abordés et traités en fonction de la problématique et du rythme de la personne, lui permettant d’atteindre ses objectifs afin de retrouver une liberté ou un mieux-être ou tout autre chose qu’elle serait venue chercher en consultation.

A bientôt,

https://www.hypnotherapeute-14.fr/article-crise-d-angoisse/

Aurélie Fournier Thérapie brève Coaching Hypnose PNL Caen Mondeville

I Angoisse caen . angoisse caen par conséquent.

Burn-Out

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Burn out

Le burn-out est un état d’épuisement mental, émotionnel et/ou physique. Il est souvent en lien avec le travail, et peut aussi survenir d’une charge personnelle (domicile, familiale…) trop importante ou les deux. Il est causé par un « essoufflement » : la personne se donne à 100 % ou plus et dépasse ses propres limites. Une compréhension des causes de ce trouble est nécessaire dans la démarche de guérison. La personne touchée par cette problématique ne s’écoute pas. En effet, elle fait abstraction de ses propres besoins et limites pour répondre à des attentes et objectifs quasi irréalisables. Des buts et/ou missions guidés par l’extérieur et/ou par elle-même.

Explication du trouble

Elle est alors entraînée dans une sorte de tourbillon où elle en oublie son bien-être personnel et ses besoins. Cette conduite parfois quasi identique dans sa vie personnelle, avec une quête de perfection, par exemple dans l’éducation des enfants, la tenue de la maison, les repas…, la conduit forcément à un dépassement de ses limites. Au début ce dépassement sera gérable mais deviendra rapidement épuisant pour elle.

En résulte alors des problèmes de concentration, ou encore de mémorisation puis parfois d’anxiété. Mais aussi une passe émotionnelle compliquée avec une forte baisse de motivation liée à l’épuisement et qui peut parfois conduire à la dégradation des liens sociaux, tant dans son milieu professionnel que personnel. La personne se sent alors incomprise et incapable jusqu’allant parfois à un sentiment d’échec. Une honte de non atteinte de ses objectifs et de doute de ses capacités entraînant une baisse de confiance en soi et/ou une baisse d’estime de soi.

Aussi, la personne n’arrivant pas à atteindre les objectifs (souvent quasi irréalisables pour un seul individu !). La tâche étant bien trop élevée, cette dernière redouble presque de charge de travail mental en ne « décrochant » pas ou peu : « elles ramènent le travail à la maison ». Ce qui réduit encore le temps personnel déjà peu présent, les moments de pause et donc la récupération.

Sortir du burn-out :

Pour sortir de cette impasse, il faudra alors commencer par prendre conscience d’une charge de travail ainsi que d’une pression exagérée. Ensuite négocier des objectifs atteignables. Puis inévitablement apprendre ou ré-apprendre à prendre soin de soi. C’est-à-dire à écouter et respecter les limites du corps et de l’esprit, afin de trouver un compromis entre l’objectif à atteindre et le temps pour soi, le repos. Certaines études ont démontré l’importance de petites pauses (quelques minutes) effectuées plusieurs fois par jour permettant de récupérer ses capacités afin de pouvoir faire face aux divers impératifs de la journée : les cycles ultradiens. S’ensuit aussi l’apprentissage de la délégation où il est parfois nécessaire d’aborder certains sujets tels que l’anxiété relationnelle… ou d’autres choses qui viendrait gêner au bon déroulement de ces objectifs.

Tant de points qui seront évoqués et travaillés en fonction des besoins et du rythme du patient. Lui permettant alors de retrouver son bien-être et son épanouissement professionnel et personnel.

Aurélie Fournier

II burn out caen